Il fallait de l’audace et de l’imagination pour créer un nouveau festival après 15 années du festival « Les Rencontres de Musique de Chambre de Bel-Air » qu’a dirigé pendant 15 ans le violoniste chambérien Renaud Capuçon, reconnu dans le monde comme le plus talentueux de sa génération.
Grâce à Renaud Capuçon, les plus grands solistes de musique classique et contemporaine sont venus à Bel-Air.
Notre association les a vu grandir au fil des années et a créé des liens très forts avec un certain nombre d’entre eux.
Ce festival hors norme s’est achevé en pleine apothéose. C’était une nécessité pour de multiples raisons.
Forte de son expérience et de son réseau d’artistes, notre association, qui par ailleurs a une activité riche toute l’année, devait inventer un nouveau temps fort.
L’idée d’un festival autour des claviers est venue très naturellement, car dans la maison, siège social de l’association, où se trouve une salle de concerts pouvant accueillir une centaine de personnes et où a lieu une partie des évènements, une collection d’instruments à claviers anciens et modernes est mis à la disposition des artistes.
Si les instruments à claviers tels que le piano, le clavecin ou l’orgue sont « cousins », ils ne sont que rarement mis en regard et leurs interprètes n’ont guère l’occasion de se côtoyer.
Pourtant beaucoup d’entre eux se passionnent pour cette variété sonore et mécanique des claviers. A travers eux c’est toute l’histoire de la musique qui se raconte.
Le pianiste Bertrand Chamayou, directeur artistique du Bel-Air Claviers Festival de 2013 à 2018, a eu cette curiosité et ce talent protéiforme. Il a exploré les différents instruments à claviers avec la même maestria, fait entendre tous les répertoires : de la musique ancienne jusqu’à la musique expérimentale en passant par le jazz. Dès 2013, il a introduit des claviers percussions comme le marimba ou le balafon, puis des pianos mécaniques en 2014 pour une œuvre ambitieuse de G. Antheil, le Ballet Mécanique, ou encore en 2015 l'accordéon. La danse a fait son entrée en 2018 avec une création d'une chorégraphe autour de pièces de John Cage pour 4 pianos préparés...
Depuis 2018 c'est le non moins talentueux Jean Rondeau, claveciniste, qui a repris la direction artistique du festival avec ce même souci d'innover, de créer des passerelles entre les répertoires, les claviers, les artistes.
Il s’entoure rapidement de la brillante percussionniste Adélaïde Ferrière et du musicien et compositeur David Chalmin pour élargir encore les univers des claviers, en faire découvrir de nouveaux comme les sixxens ou le métallophone et proposer des créations, des croisements entre différents arts comme le cirque en 2023.
Grâce à Renaud Capuçon, les plus grands solistes de musique classique et contemporaine sont venus à Bel-Air.
Notre association les a vu grandir au fil des années et a créé des liens très forts avec un certain nombre d’entre eux.
Ce festival hors norme s’est achevé en pleine apothéose. C’était une nécessité pour de multiples raisons.
Forte de son expérience et de son réseau d’artistes, notre association, qui par ailleurs a une activité riche toute l’année, devait inventer un nouveau temps fort.
L’idée d’un festival autour des claviers est venue très naturellement, car dans la maison, siège social de l’association, où se trouve une salle de concerts pouvant accueillir une centaine de personnes et où a lieu une partie des évènements, une collection d’instruments à claviers anciens et modernes est mis à la disposition des artistes.
Si les instruments à claviers tels que le piano, le clavecin ou l’orgue sont « cousins », ils ne sont que rarement mis en regard et leurs interprètes n’ont guère l’occasion de se côtoyer.
Pourtant beaucoup d’entre eux se passionnent pour cette variété sonore et mécanique des claviers. A travers eux c’est toute l’histoire de la musique qui se raconte.
Le pianiste Bertrand Chamayou, directeur artistique du Bel-Air Claviers Festival de 2013 à 2018, a eu cette curiosité et ce talent protéiforme. Il a exploré les différents instruments à claviers avec la même maestria, fait entendre tous les répertoires : de la musique ancienne jusqu’à la musique expérimentale en passant par le jazz. Dès 2013, il a introduit des claviers percussions comme le marimba ou le balafon, puis des pianos mécaniques en 2014 pour une œuvre ambitieuse de G. Antheil, le Ballet Mécanique, ou encore en 2015 l'accordéon. La danse a fait son entrée en 2018 avec une création d'une chorégraphe autour de pièces de John Cage pour 4 pianos préparés...
Depuis 2018 c'est le non moins talentueux Jean Rondeau, claveciniste, qui a repris la direction artistique du festival avec ce même souci d'innover, de créer des passerelles entre les répertoires, les claviers, les artistes.
Il s’entoure rapidement de la brillante percussionniste Adélaïde Ferrière et du musicien et compositeur David Chalmin pour élargir encore les univers des claviers, en faire découvrir de nouveaux comme les sixxens ou le métallophone et proposer des créations, des croisements entre différents arts comme le cirque en 2023.